Comment larguer un bad boy ? (Service Press)

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comment-larguer-un-bad-boy-1149221Titre : Comment larguer un bad boy ?

Auteur : Sereine M.

Maison d’édition : Hachette

Collection : /

Date : 6 Mars 2019

Papier : 16.90€

eBook : 12.99€

SERVICE PRESS

Résumé :

Riley a 21 ans, est étudiante en droit et promise à un brillant avenir. Son seul problème, actuellement, c’est son copain : Sledge. Le bad boy par excellence… avec qui elle vit depuis trois ans.
Or, un mauvais garçon, aussi séduisant soit-il, reste un mauvais garçon. L’idée selon laquelle un homme peut changer et devenir le parfait petit copain est un mythe. Il n’est pas attentionné, fume à l’intérieur, se moque des règles de propreté. Et il vous fait du mal, sans même le savoir.
Riley est donc déterminée à le larguer. Pour cela, elle a un plan infaillible : tout faire pour que lui la quitte. Sauf que les bad boys, en plus de tous leurs défauts, ont une caractéristique que Riley ignorait : ils sont coriaces et… obstinés !

Mon résumé :

Déjà, je souhaite vivement remercier Hachette pour ce Service Press et pour leur confiance.

Riley n’en peut plus de son petit ami, Sledge. C’est un bad boy et peu importe que cela semble intéressant, elle, elle en à ras-le-bol. Elle décide donc de mettre tout un système pour que ce soit lui qui la quitte et non l’inverse. Mais il faut bien dire ce qu’il en ait : Sledge est plutôt obstiné dans son genre alors ça ne sera pas facile.

Le résumé, le titre, la couverte et l’extrait que j’avais pu lire m’ont fait succomber à ce livre. Mais en premier lieu, c’est bien la couverture qui m’a attiré. Il faut savoir que je n’aime pas le rose. Oui, une fille peut ne pas aimer cette couleur, bref. Malgré ce détail, j’ai été plus qu’intrigué par ce livre alors je m’y suis intéressé. Riley me donnait envie de la connaître et bien entendu, je voulais aussi découvrir le fameux Sledge dont elle veut absolument se débarrasser.

Nous découvrons donc tout de suite Riley. Elle fait des études de droit et elle n’est pas mauvaise bien qu’elle se relâche un peu à cause de Sledge. Ou plutôt, parce qu’elle n’arrive pas à le faire partir. Dès le début j’ai beaucoup ris par rapport aux plans qu’elle trouve pour lui donner envie de la quitter. Il est vrai, pourtant, que ça serait plus simple si c’était elle qui faisait le premier pas, mais elle n’aime pas blesser les gens alors elle n’y arrive pas.

Et on peut dire beaucoup de choses sur Riley, mais elle une imagination sans fin. Je n’arrivais jamais à prévoir le prochain coup qu’elle allait préparer. Et c’était terriblement hilarant de voir son plan se retourner contre elle car Sledge est en fait un amour. Oui, je suis tombé entièrement amoureuse de ce bad boy qui n’en a pas entièrement un. On sent tout l’amour qu’il a pour sa copine et j’avais tout le temps envie de savoir ce qu’il allait faire pour lui prouver ses sentiments de nouveau.

Le roman n’est pas très long et les chapitres sont très courts, ce que j’apprécie, et au fil de ma lecture je me suis rendu compte de quelque chose. Riley, bien que je l’apprécie, ne m’apparaissait plus comme le personnage principal de l’histoire. Elle était à l’origine de chaque situation, mais à force elle devient moins intéressante. Peut-être aussi car on a l’impression qu’elle tourne en rond. J’ai à plus d’une reprise eu envie de la secouer et de lui dire « soit tu le quitte toi-même, soit tu avoues que tu n’es pas capable de le faire car tu l’aimes ! ». Après, je n’ai pas été jusqu’à détester son personnage, mais il est vrai que vers la fin je faisais moins attention à elle.

Sledge par contre, c’est une tout autre histoire. J’aurais adoré avoir régulièrement son point de vue pour en savoir plus sur lui. Certes, il nous apparaît comme un bad boy, son physique et son style y sont pour beaucoup, mais en vérité il est loin de cette catégorie d’homme. C’est un homme adorable, fou amoureux de Riley et qui a une fragilité intérieure qu’il a peur de laisser parler. Alors, ça ne veut pas dire que ce que je viens de dire ne correspond pas à un bad boy, attention. Juste que ce n’est pas l’idée qu’on a d’eux la plupart du temps, ni l’image qu’ils renvoient. Après, vous savez ce qu’on dit : l’habit ne fait pas le moine.

En tout cas, j’ai passé un très bon moment de lecture. Ça se lit très vite et on ne se prend pas la tête avec ce livre. Plus encore, il est facile de rire au vu des situations que Riley va créer. Mon seul regret, c’est qu’il n’y a pas le point de vue de Sledge à plusieurs reprises, comme un chapitre sur deux ou quelque chose comme ça. Ça nous aurait permis d’avoir la surprise quant aux projets de Riley et de le voir d’une manière différente.

Ma note : 4/5

Citations :

« La porte de l’appartement de Rick s’ouvre avec fracas. Sledge apparaît et m’attrape et me met sur son épaule. Je le connais que trop bien.
— Merci , Rick , dis-je avant que Sledge ne me ramène chez nous.
Il me dépose au sol et claque brutalement la porte. Il se tourne vers moi, les yeux sombres.
— Je devrais rompre avec toi ! me dit-il durement.
Bah vas-y ! Fais-le ! Je n’attends que ça. J’attends. Il reprend.
— Mais malheureusement… commence-t-il en s’approchant de moi (il saisit ma taille dans ses grands bras.), j’ai besoin de quelqu’un pour faire la lessive.
Il pose ses lèvres sur les miennes avant même que je n’aie le temps de répondre. J’ai un connard pour futur ex-petit ami… Sledge : 1 – moi : 0. »

« J’arrive au niveau de la fille et je ne suis pas mesquine, mais je trouve juste qu’elle ressemble à une glace bas de gamme. Son maquillage, c’est principalement de l’UV, des faux- cils et des sourcils en forme de point d’exclamation. Sans oublier le rouge à lèvres rose bonbon.
— Non, chérie, tu t’es trompée, dis-je en m’accoudant au bar. À minuit (je dessine le cadran d’une montre avec mon index), Cendrillon, c’est sa chaussure qu’elle perd, pas sa culotte.
Elle me regarde du haut de son mètre quatre-vingt avec mépris. J’entends Sledge ricaner dans mon dos, la brune me fixe d’un air de dire qu’elle veut se battre.
— Hé , hé… s’écrie Sledge en élançant ses bras entre nous.
Elle repart et je ne peux m’empêcher de lui faire signe de la main, inutile de vous préciser avec lequel de mes doigts. La jalousie est un vilain défaut, dit-on. »

Une réponse à « Comment larguer un bad boy ? (Service Press) »

  1. Avatar de Bilan Avril 2019 – Les lectures d'Oriane

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