The Lady Janies – Tome 1 (Service Presse)

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Titre : The Lady Janies – Tome 1 : My Lady Jane
Auteures : Cynthia Hand & Jodi Measows & Brodi Ashton
Maison d’édition : Rageot
Date : 8 Novembre 2023
Papier : 18.90€
eBook : 14.99€

Résumé : Edward est le roi d’Angleterre. Accessoirement, il est aussi mourant.
Jane, sa cousine, est sur le point de se marier et, le moins que l’on puisse dire, c’est que ça ne lui fait pas plaisir.
Gifford est son futur époux. Il est également un cheval, la moitié du temps. Il fait partie des Edians, ces individus capables de se transformer en animaux.
Pris au piège d’un complot qui les dépasse, ils vont devoir s’allier pour sauver l’Angleterre – et leur tête.
Un roman de fantasy qui revisite l’histoire avec un humour mordant !

En temps normal, je ne lis pas de récit historique. Simplement, car mes connaissances en histoire sont très faibles, ainsi, je passe à côté de beaucoup de détails et/ou de références. Mais ici, je me suis laissé tenter, car le côté fantastique m’intriguait !

Jane ne s’attend pas à être soudainement mariée à un homme qu’elle n’a jamais vu. Et autant dire qu’elle ne pouvait pas non plus imaginer que ce dernier passait ses journées sous la forme… d’un cheval ! J’ai beaucoup aimé Jane, entre son amour des livres, ses réparties cinglantes et sa passion pour les synonymes, elle était géniale à suivre !

Pour G (Gifford, mais il préfère G), c’est assez similaire, je l’ai beaucoup aimé. Il m’a plus frustré que Jane, car il a un secret qu’il refuse de lui avouer alors que ce n’est pas (à mon sens) une honte. Malgré tout, c’est un personnage agréable à suivre et touchant.

Et enfin, nous suivons Edward, qui est mourant dès le début de l’histoire. Ce cher roi m’a plu aussi, mais moins que les deux autres protagonistes. Il faisait beaucoup plus « enfant » que Jane et G qui n’était pourtant pas très vieux non plus.

C’était donc une excellente découverte ! J’ai ri comme jamais, que ce soit à travers les petits commentaires des autrices, que par certaines réparties dans les dialogues. C’était rafraîchissant pour ma part de lire ça. C’est ma première satire, et j’en ressors conquise !

« — Gifford, je t’aime plus que le tricot, même si, pour être honnête, il y a de nombreuses choses que je préfère au tricot.
Je t’aime aussi plus qu’être reine, ce qui, je l’avoue, ne me plaisait pas beaucoup.
Je sais que ce n’est pas très rassurant jusqu’ici, mais il y a une dernière chose que je souhaitais évoquer. (Elle leva les yeux vers lui.) Je t’aime plus que les livres. »

« — La première fois que je t’ai vue, j’ai pensé que tu étais trop belle pour m’aimer. Je n’avais jamais rencontré la vraie beauté avant ce soir-là. (Il lui caressa la joue du dos de la main.) Mais je ne te connaissais pas à l’époque. J’ignorais combien tu étais intelligente, courageuse, généreuse et toujours fidèle à tes principes. Ma chère Jane. Je ne voudrais aucune autre compagne au monde que toi. »

« Edward n’avait cessé de penser à la manière dont Gifford avait porté la main de sa femme à sa joue avant de l’embrasser. Lui-même n’avait jamais éprouvé de sentiments aussi profonds. Pas amoureux, en tout cas. »

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