Percy Jackson – Tome 1

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Titre : Percy Jackson – Tome 1 : Le Voleur de foudre
Titre VO : Percy Jackson and the Olympians – Book 1 : The Lightning Thief
Auteur : Rick Riordan
Maison d’édition : Albin Michel
Date : 26 Décembre 2005
Papier : 17.90€ / 7.90€ (poche)
eBook : 7.49€

Résumé : Être un demi-dieu, ça peut être mortel…
Attaqué par sa prof de maths qui est en fait un monstre mythologique, injustement renvoyé de son collège et poursuivi par un minotaure enragé, Percy Jackson se retrouve en plus accusé d’avoir dérobé l’éclair de Zeus!
Pour rester en vie, s’innocenter et découvrir l’identité du dieu qui l’a engendré, il devra accomplir sa quête au prix de mille dangers.

Percy est un garçon de douze ans tout ce qu’il y a de plus normal, avec une certaine dyslexie malgré tout et une hyperactivité difficile à gérer pour lui. Mais sa vie va basculer lors d’une sortie scolaire où, sans comprendre pourquoi, l’une de ses profs va essayer de le tuer et l’accuser d’un vol…

J’adore la mythologie, alors bien sûr l’univers tout entier de Percy Jackson est fait pour moi. J’ai aimé les références à foison, les petits détails cachés ici et là, les personnages et créatures mythologiques que l’on rencontre, etc !

Pour ce qui est des personnages, je dois dire que Percy est un héros attachant. Il a un sens de l’humour qui a fait mouche avec moi, un sens du courage qui frôle parfois l’instinct suicidaire, mais c’est ce qu’il faut pour être un héros.

Annabeth, de son côté, m’a un peu déçu… Alors, bien sûr, tout comme Percy, c’est une enfant, donc je n’aurais pas dû avoir de trop grande attente pour elle. Mais elle ne représentait pas vraiment la sagesse d’Athéna, notamment face à certaines créatures qu’elle n’a absolument pas décelées, ou presque trop tard…

Grover, de son côté, est peut-être celui qui m’a le plus surpris. Peut-être parce que ce n’était pas un personnage que j’aimais dans les films, donc je n’attendais rien de lui. Je suis intrigué quant à son futur.

Pour ce qui est de l’intrigue, je connaissais déjà la finalité, mais j’ai aimé découvrir les différences entre les films, la série et les livres. Et je suis très curieuse quant à la suite, notamment parce qu’en-dehors d’un personnage qui disparaît, nous n’avons pas vraiment d’indice sur ce qui va se passer.

« — Ce n’étaient pas des vieilles dames, a dit Grover. C’étaient les Parques. Sais-tu ce que cela signifie, le fait qu’elles soient apparues devant toi ? Elles ne le font que lorsque tu vas… lorsque quelqu’un va mourir.
— Une seconde. Tu as dit « tu ».
— Non. J’ai dit « quelqu’un ».
— Tu voulais dire « tu ». Genre « moi ».
— Je voulais dire « tu » genre « on », genre « quelqu’un ». Pas forcément toi. »

« — Percy, je te présente Hortensia. Hortensia, Percy.
Je me suis tourné vers Annabeth, m’attendant à la voir rire de cette farce qu’ils me faisaient, mais elle avait l’air terriblement sérieuse.
— Je ne dis pas bonjour à un caniche rose, ai-je protesté. Laissez tomber.
— Percy, a dit Annabeth. J’ai dit bonjour au caniche. Tu dis bonjour au caniche.
Le caniche a grondé de plus belle.
J’ai dit bonjour au caniche. »

« — Tu crois qu’on peut m’acheter, graine de dieu ? Et… euh par simple curiosité, combien as-tu là ?
— Beaucoup, ai-je fait. Je parie qu’Hadès ne te paie pas assez pour un boulot exigeant comme le tien.
— Oh, et encore, tu n’en connais pas la moitié. Que dirais-tu de baby-sitter ces esprits à longueur de journée ? Toujours les mêmes rengaines, les « S’il vous plaît, faites que je ne sois pas mort », « S’il vous plaît, laissez-moi traverser gratuitement ». Je n’ai pas eu d’augmentation depuis trois mille ans. Tu crois que c’est bon marché, un costume comme ça ?
— Vous méritez mieux, ai-je renchéri. Un peu de gratitude. Du respect. Un bon salaire.
À chaque mot, je déposai une pièce d’or de plus sur le bureau. »

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