Mo Dao Zu Shi, Le Grand Maître de la cultivation démoniaque – Tome 2

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Titre : Le Grand Maître de la cultivation démoniaque – Tome 2
Titre VO : Mo Dao Zu Shi
Auteure : Mo Xiang Tong Xiu
Maison d’édition : Bookmark
Date : 16 Août 2023
Papier : 21.99€ / 29.99€ (relié)
eBook : 6.99€

Résumé : Sur la piste d’un corps démembré, Wei Wuxian et Lan Wangji arrivent aux portes de la ville de Yi : une vieille ville abandonnée, enveloppée de brume et remplie d’esprits agités.
Dans l’ombre, un ennemi diabolique rôde, annonciateur d’une histoire tragique et déchirante. Et lorsque l’identité du mystérieux cadavre se révèle, Wei Wuxian se retrouve propulsé en plein cœur des intrigues politiques du monde de la cultivation.
Un monde dans lequel il vaut mieux garder ses ennemis proches. Et Lan Wangji plus proche encore.

Après mon coup de cœur total pour le tome 1, je n’ai pas tardé avant de commencer le tome 2. Et franchement, je dois dire que mon seul regret, c’est de ne pas avoir commencé cette saga avant ! Quoique, déjà maintenant, l’attente pour les derniers tomes va être dure, alors si j’avais commencé plus tôt, ça aurait été pire…

On retrouve Wei Wuxian et Lan Wangji, alors qu’ils arrivent près de la ville de Yi, un endroit qui recèle beaucoup de mystère. J’ai adoré l’intrigue autour de la ville de Yi, même si ça m’a aussi brisé le cœur. On est, à nouveau, sur une histoire très dure et très sanglante, entouré de personnages incroyables que j’aurais voulu suivre plus longtemps !

Pour ce qui est des personnages, j’aime toujours énormément Wei Ying. Il est clairement mon personnage préféré jusqu’ici et le détrôner risque d’être compliqué. J’aime sa complexité, son petit grain de folie, son esprit aiguisé et sa façon d’être en général. Il me fait aussi beaucoup rire, tout en étant très touchant à d’autre moment.

Lan Zhan, de son côté, reste un personnage que j’apprécie, surtout de par ses actions et réactions en lien avec Wei Ying. En-dehors de ça, il reste plus mystérieux, renfermé et silencieux, mais c’est une présence sur laquelle on voudrait tous pouvoir compter, je pense.

Autour d’eux, on retrouve plusieurs cadets Lan, mais aussi Jin Ling. Ce dernier, je l’adore, avec Wen Ning que l’on retrouve aussi dans ce tome, ce sont mes petits amours et j’aimerais tellement qu’ils leurs arrivent plus de bonnes choses !

C’est donc avec un nouveau coup de cœur que je termine ce livre ! Il me tarde de lire la suite, pour continuer à en apprendre plus sur cet univers que j’aime tant !

« — C’est tout ? On s’en va comme ça ?
Wei Wuxian tourna la tête en direction du champ de bataille qu’ils laissaient derrière eux et s’écria :
— Hanguang-jun, je te laisse t’en charger. Nous partons devant !
Au loin, les cordes de l’instrument de l’intéressé lui répondirent au travers d’un long « beng », donc la sonorité évoquait un « Mmh ». Cela ne manqua pas de faire rire Wei Wuxian aux éclats.
— C’est tout ? Rien d’autre ? demanda Lan Jingyi.
— Quoi ? Que veux-tu que je dise de plus le questionna ? Wei Wuxian.
— Pourquoi n’as-tu pas dit quelque chose comme « Je m’inquiète pour toi, je reste ! » ? Il t’aurait alors répondu « Pars ! », et toi, tu aurais insisté : « Non ! Je ne partirai pas sans toi ! Si on part, c’est ensemble. » N’est-ce pas comme ça que c’est censé se passé ?
— Qui t’a enseigné ça ? bafouilla Wei Wuxian. Qui a dit que ce genre d’échanges devait avoir lieu ? Et je ne parle même pas de moi. Peux-tu ne serait-ce qu’imaginer votre Hanguang-jun dire ce genre de chose ?
— Non, marmonnèrent tous les cadets Lan. »

« Lan Wangji fronça les sourcils, puis se boucha les oreilles et tourna le dos à Wen Ning pour faire plutôt face à Wei Wuxian. Il utilisa son propre corps pour bloquer le champ de vision de celui-ci.
Wen Ning en resta coi.
— Quel est le problème avec Lan-gongzi ? s’enquit Wen Ning.
— Rien. Il est juste saoul.
— Hein ?
Wen Ning en perdit la voix, comme si c’était impossible à croire. Après un bon moment, il demanda finalement :
— Alors… que devons-nous faire ?
— Quoi d’autre ? répondit Wei Wuxian en haussant les épaules. Je vais le ramener à l’intérieur et le jeter dans son lit.
— D’accord, approuva Lan Wangji.
— Hein ? Ne t’étais-tu pas couvert les oreilles ? releva Wei Wuxian. Pourquoi peux-tu m’entendre parfaitement subitement, mmh ? »

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