Dreamland Billionaires – Tome 1 (Service Presse / Audiobook)

Published by

on

Titre : Dreamland Billionaires – Tome 1 : The Fine Print
Auteure : Lauren Asher
Maison d’édition : BMR & Audiolib
Date : 11 Octobre 2023
Papier : 20€
eBook : 9.99€
Audio : 25.45€

Résumé : Zahra a toujours adoré « Dreamland », le parc d’attractions emblématique de la famille Kane. Lorsqu’elle se laisse aller, sous l’effet de l’alcool, à critiquer l’une de leurs attractions les plus coûteuses, elle s’attend à être inévitablement licenciée. À son grand étonnement, le nouveau dirigeant, Rowan Kane, l’engage en tant que créatrice pour la repenser.
La déterminée et solaire Zahra se retrouve enfin à occuper le poste de ses rêves… mais sous les ordres du patron le plus exigeant qu’elle ait jamais rencontré ! Rowan est un homme d’affaires froid et égoïste, dont les décisions sont sans pitié. Mais cela ne la décourage pas, du moins jusqu’à ce qu’elle découvre son secret. Le moment est venu pour elle de faire comprendre à ce milliardaire, son parfait opposé, que l’argent ne peut pas tout résoudre. Et certainement pas leur situation.

Je lis assez peu de romance patron/employé, mais celle-ci m’a intrigué dès sa sortie. Sans doute, car elle parlait à mon âme d’enfant toujours bien présente, à travers le thème des parcs d’attractions.

Zahra est une jeune femme que j’ai beaucoup appréciée, notamment parce qu’elle est forte, intègre, bienveillante, sans pour autant être une bonne poire. C’est une personne qui a du vécu et qui refuse de refaire les mêmes erreurs. J’ai vraiment beaucoup aimé la suivre !

Avec elle, nous avons Rowan, et vraiment, je pensais qu’il aurait pu mon coup de cœur du livre. Un homme très « grumpy » qui va découvrir petit à petit que, non, la chose la plus intéressante dans le monde, ce n’est pas l’argent. Mais au final, même si je l’ai apprécié en grande partie, il y a des moments où il m’a fait lever les yeux au ciel. Notamment, quand il semblait totalement déconnecter de la réalité. C’est-à-dire, sans rentrer dans les spoilers, quand il a fait une très grosse c*nnerie, qu’il va pour tout avouer et qu’il semble tomber de haut parce que, non, Zahra n’arrive pas à l’accepter et à le comprendre.

En dehors de ça, j’ai surtout aimé l’image bienveillante qui ressort de l’histoire de la sœur de Zahra. Ani est touchante au possible, adorable et j’aurais aimé la voir plus souvent !

Je dirais donc que j’ai passé un bon moment dans cette histoire. Même si l’ « instant love » de Zahra m’a un peu fait grimacer. Je suis aussi curieuse de savoir ce qui va arriver aux deux frères de Rowan dans leurs prochains tomes, notamment pour Callahan, dont on a eu très peu d’infos !

« — En fait, Zahra et toi, vous avez beaucoup de points communs.
Peu probable. Sa sœur est mon opposé. Je ne peux pas me comparer à une femme capable d’illuminer une pièce uniquement grâce à son sourire. Elle est comme le soleil : tout le monde orbite autour d’elle pour se réchauffer. Contrairement à moi, qui garde les autres à distance rien qu’en fronçant les sourcils.
— Tu trouves toujours un moyen de parler d’elle.
— C’est parce que vous vous plaisez, répond Ani en passant une boucle brune derrière son oreille.
— Et comment tu le sais ?
— Elle te regarde comme si elle avait envie d’avoir tes enfants.
À cette déclaration, je m’étrangle. Je me cogne la poitrine du poing tout en prenant une profonde inspiration.
— Non, je ne pense vraiment pas qu’elle me regarde comme ça.
— Tu as raison, réplique Ani nonchalamment. Je voulais juste voir ta réaction.
Incroyable…
— Tu es cruelle.
En représailles, je lui vole un morceau de son bretzel.
— Mais ma sœur te sourit beaucoup, dit-elle d’un air candide.
— Elle sourit à tout le monde, bougonné-je.
— Comment tu le sais ?
Bon sang. Les questions d’Ani paraissent innocentes, mais elles mettent en lumière à quel point je suis attentif à Zahra. Le sourire qui s’affiche alors sur son visage m’apprend qu’elle l’a, elle aussi, remarqué. »

« — Tu m’aimes bien, suggère-t-elle en battant des cils.
— Je te l’ai déjà dit.
Je lui décoche un petit sourire, ce qui la fait rayonner comme le soleil en retour.
— Les actes sont plus éloquents que les mots, déclare-t-elle en s’emparant du menu des desserts au centre de la table.
— Et que disent mes actes ?
Je me penche pour saisir entre mes doigts l’extrémité de sa chevelure et l’attirer vers moi, si bien que nos bouches ne sont plus qu’à quelques centimètres d’écart.
— Ils disent que je compte plus pour toi que tu ne le prétends.
Je l’embrasse.
— Ne commence pas à souhaiter des choses qui ne peuvent pas devenir réalité.
Ses yeux s’adoucissent, reflétant une émotion que je n’ai encore jamais vue chez elle.
— Je rêverai suffisamment pour nous deux. »

Laisser un commentaire

Propulsé par WordPress.com.